En commentaire d’un de mes billets FB,
Danièle a indiqué son intérêt pour la correction de thèse. J’avoue : moi
aussi.
C’est un autre type de prestation, qui nécessite
aussi « un peu plus » que la correction orthographique.
Contrairement aux manuscrits littéraires que l’on reçoit sans trop savoir de quoi il va être question, il est bon de connaître le sujet/le domaine avant de se lancer et d’accepter le travail : le sujet de la thèse.
Pour ma part, je ne m’engage que si je suis
en capacité de suivre les démonstrations. C’est plus pratique pour corriger. Il
est certains domaines où je passe mon chemin.
J’ai par exemple relu pour un doctorant
étranger une thèse de littérature comparée. Outre les développements avancés,
il y avait des citations en allemand et en anglais.
Pas question d’intervenir dans le
travail, mais comprendre est utile… pour repérer ce qui mérite d’être clarifié,
et donc éventuellement reformulé.
Le travail de correction peut se faire
d’un coup, une fois que la totalité de la thèse est bouclée. On peut aussi
travailler « au long cours », c’est-à-dire chapitre après chapitre. Dans
ce dernier cas, c’est un autre rythme que celui du travail sur des manuscrits
pour l’édition.
Cet autre type de correction montre bien
qu’il existe différents types de correction. À chacun de cerner ce qu’il aime
et là où il se sent bien, pour que le travail ne devienne pas une longue
torture.
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