vendredi 17 septembre 2021

En commentaire d’un de mes billets FB, Danièle a indiqué son intérêt pour la correction de thèse. J’avoue : moi aussi.

C’est un autre type de prestation, qui nécessite aussi « un peu plus » que la correction orthographique.

Contrairement aux manuscrits littéraires que l’on reçoit sans trop savoir de quoi il va être question, il est bon de connaître le sujet/le domaine avant de se lancer et d’accepter le travail : le sujet de la thèse.

Pour ma part, je ne m’engage que si je suis en capacité de suivre les démonstrations. C’est plus pratique pour corriger. Il est certains domaines où je passe mon chemin.

J’ai par exemple relu pour un doctorant étranger une thèse de littérature comparée. Outre les développements avancés, il y avait des citations en allemand et en anglais.

Pas question d’intervenir dans le travail, mais comprendre est utile… pour repérer ce qui mérite d’être clarifié, et donc éventuellement reformulé.

Le travail de correction peut se faire d’un coup, une fois que la totalité de la thèse est bouclée. On peut aussi travailler « au long cours », c’est-à-dire chapitre après chapitre. Dans ce dernier cas, c’est un autre rythme que celui du travail sur des manuscrits pour l’édition.

Cet autre type de correction montre bien qu’il existe différents types de correction. À chacun de cerner ce qu’il aime et là où il se sent bien, pour que le travail ne devienne pas une longue torture.


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