Ce trait d’union n’est pas sans poser problème à de nombreux auteurs.
Dans la locution grand-chose, le trait d’union a en fait remplacé l’apostrophe jadis de mise quand l’adjectif qualificatif précédait un nom féminin.
On écrit par conséquent grand-chose,
mais grand monde.
À noter : si dans la forme négative, il n’y a pas de trait d’union
entre la négation et la locution (ce n’est pas grand-chose), il en faut un en
revanche dans le substantif invariable un
pas-grand-chose, comme l'indique le Larousse.
Ces couvertures de Souvenirs d’un pas-grand-chose de Charles Bukowski ne sont donc plus à imiter que pour le trait d’union entre grand et chose. Il manque le premier trait d'union du substantif composé.
Ces couvertures de Souvenirs d’un pas-grand-chose de Charles Bukowski ne sont donc plus à imiter que pour le trait d’union entre grand et chose. Il manque le premier trait d'union du substantif composé.
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